Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

le quotidien du nomadisme

22 mai 2013

EDITO

EDITO sujet : le nomadisme problématique : -qu'est qui poussent l'homme a devenir nomade ? -qu'elles sont les causes de la disparition du nomadisme ? Sur se blog, le nomadisme est mis à l'honneur. En effet se mode de vie si ancien, si fascinant, qui perpétue...
Publicité
Publicité
22 mai 2013

les nouvelles formes de nomadismes

 

Eh oui ! Les peuples nomades sont en train de disparaître, mais leurs produits nom jamais était autant a la mode : le nomadisme est devenus un véritables objets de marketing. Nous empruntons leurs cultures et leurs traditions, pour satisfaire notre besoin d'exotisme sans avoir à sortir de chez nous.

Ainsi, on ne jure que par la cuisine du monde nomades, on porte des bonnets péruvien, on achète des livres qui vantent l’art de vivre dans une yourte.

il fait bon évoquer les traditions ancestrales des tribus les plus reculés. Nos sociétés occidentales tentent de réinventer, de nouvelles formes de produit qui font « nomades », des denrées alimentaires pratiques à transporter, des vêtements fonctionnels qui sont multifonction, des objets-gadgets si petits qu'on peut toujours les avoir avec soi.

Mais notre société ne créer pas que des produits issue du nomades, de nouvelles formes de nomadismes modernes apparaissent.



Les nomade de la route :

Ils vivent continuellement dans leur véhicule souvent en camping-cars. Ils se déplacent sur de longues distances et passe de ville en ville en si arrêtant ponctuellement. Appelés les full-timers, ils ont fait le choix de ne plus être sédentaires,pour poursuivre leur rêve de mobilité et liberté. Ils sont rarement seul mais plutôt en groupe d'une dizaines de véhicule. Ce genres de nomadismes est surtout développé dans le nord de Amériques mais quelques adeptes demeurent en Europe.



les nomades du loisir :

On les appelles nomades du loisir car ce sont des personnes qui voyages uniquement par plaisir (touristes, vacanciers), pour se reposer à l'étranger sans faire attention au peuple vivant sur place. Pour d'autres il s'agit plus de découvrir de nouveau pays, d'apprendre d'autres coutumes ou traditions (excursionnstes). Le nomades du loisir est en faite un semi-nomades car il garde un domicile fixe dans son pays d'origine et part une partie de l'année dans d'autres pays.



les nomades du travail :

Le nomades du travail lui se déplace dans le monde souvent par plaisir mais il travail aussi dans le pays visité. Ceci lui permet de se financer ses voyage tout en parcourant un pays inconnu. Ce types de nomadismes est surtout exercés par des étudiants pour apprendre des langues ou un métier et gagner un minimum d'argent (woofing) .



22 mai 2013

la destruction du lieu de vie d'un peuple millénaire..... pour de l'électricité!

 

La vallée de l’Omo, au sud-est de l’Ethiopie, est habitée par huit peuples différents dont la population représente environ 200 000 personnes qui vivent sur ces terres depuis des siècles.

La crue annuelle de l’Omo alimente la riche biodiversité de la région et garantit une sécurité alimentaire à ces peuples lorsque les précipitations sont rares.

leur l’agriculture utilise les limons laissé lors de la décrue, pour produire du sorgho, du maïs et des haricots dans les plaines. ils pratiquent aussi la chasse et la pêche ainsi qu'un peu d'élevage .

La vallée inférieure de l’Omo est une région offrant des écosystèmes d’une extrême variété dont des prairies, et l’une des rares forêts ‘vierges’ de l’Afrique semi-aride abritant une importante diversité d'espèces vivantes.

Cependant, l’avenir de ces peuples est incertain. Un barrage hydroélectrique géant, est en construction sur le fleuve l’Omo. Une fois achevé, il perturbera le cycle du fleuve et le mode de vie de ces peuples qui dépendent du fleuve ainsi que de ces crues.

La construction a commencé en 2006 et le gouvernement affirme que plus de la moitié est actuellement construite.

Plusieurs organisations internationales estiment que le barrage aura des conséquences catastrophiques sur les peuples de l’Omo qui vivent déjà très difficilement dans cet environnement avec de l'eau en petite quantité et un milieu hostile.

De plus d'autres incidents était déjà venus fragilisé les peuples de la vallée inférieure de l’Omo, en effet deux parcs nationaux créés dans les années 1960 et 1970 les empêchent de disposer des ressources essentielles à leur survie qui s’y trouvent. Les touristes peuvent y chasser durant des safaris alors même que les résidents indigènes n’en ont pas le droit, ce qui entraîne des problèmes de malnutrition.

Selon des experts indépendants, le barrage aura un impact sur l’écosystème délicat de la région en modifiant la crue saisonnière de l’Omo et réduira son volume en aval, ce qui provoquera la sécheresse de la zone riveraine et la disparition de la forêt lacustre.

Si la crue naturelle et ses riches dépôts de limon disparaissent, la vie des peuples de la région s’effondrera, exposant au moins 100 000 membres de communautés indigènes à une grave pénurie alimentaire.

22 mai 2013

Les derniers nomades de la mer peuvent-il résisté à la sédentarisation ?

 

 

Les nomades de la mer appelés « mokens » ne sont pas très connus du monde extérieur. Les Mokens sont un peuple nomade vivant dans l’archipel des Mergui. Composé d’environ 800 îles dans la mer d’Andaman, cet archipel est entre la Birmanie et la Thaïlande.

ils vivent la plupart de l’année sur leurs bateaux en bois appelés kabang, qu’ils construisent eux-mêmes. Ils se déplacent en flottilles d’îles en îles dans l’archipel, à la recherche de poisson, de crustacé et de tout autre produit de la mer.

Les mokens ne rallient la terre que pour chercher du bois ou pour effectué des échanges de denrée. Ils pratiquent encore la pêche ancestral sans filet de pêche mais avec des harpons en bois. Une partie de leur pêche est auto-consommé, et le reste est échangés contre du riz et des vêtements.

Durant la saison de la mousson ils habites dans des maisons temporaires sur pilotis sur la côte est des îles, à l’abri des vents de tempêtes.

Mais aujourd’hui, la vie maritime des Moken, qui n’est délimitée par aucune frontière, est en danger. Ce peuple pacifique a constamment été persécuté par les autorités birmanes et thaïlandaises qui se méfient de leur mode de vie indépendant et qui ont tenté de les sédentariser dans des parcs nationaux. En effet ils leurs est interdit d'avoir accès au système éducatif ainsi que de possédé des terres.

Le nombre de Moken nomades a diminué ces dernières années en raison de la régulation politique post-tsunami, des compagnies pétrolières de forage off-shore et des gouvernements qui saisissent leurs territoires pour développer le tourisme et la pêche industrielle.

Aujourd’hui, les grands bateaux viennent et prennent tout le poisson. De nombreux Moken sont désormais sédentarisées dans des villages de huttes en bambou, vendant de l’artisanat et travaillant comme bateliers, gardiens ou éboueurs dans l’industrie du tourisme.



Cette sédentarisation ne cesse de s'accroitre car sur les 3000 membres de la tribus il ne reste à l'heure actuel que 700 nomades, les autres n'ont eu d'autres choix que de se sédentarisé sous le poids du gouvernement et ne sont aujourd'hui que l'ombre d'eux même.



22 mai 2013

les nomades et les animaux : une interaction positives.

 

 

Les nomades et les animaux vivent, depuis toujours sur un même territoire. Au début, certains nomades étaient uniquement chasseur-ceuilleur mais au fils du temps ils ont su domestiquer certaines bêtes et devenir des éleveurs. L'apprivoisement des animaux a commencé il y a des millions d'années avec le loup et se poursuit encore aujourd'hui.

 

Cette relation avec les bêtes dans les zones arides et extrêmement froide est vitale. L'animal devient dépendant de l'homme et inversement. Par exemple au Groenland les Inuits vivent en permanence avec leurs chiens de traîneaux. Ils sont dépendant l'un de l'autre car sens eux les inuits ne pourraient pas se déplacer pour chercher de la nourriture mais sens les inuits les chien n'auraient pas de quoi manger.

 

D'autre forme d'apprivoisement existe, mais contrairement aux inuits qui utilises les animaux comme bêtes de compagnie, certains tribus les apprivoises pour ensuite en faire leur nourriture.

Cette forme de nomadismes est appelé le nomadisme pastoral.

En effet dans la tribus des Nenets en Sibérie, les rennes sont capturés à l'aide de corde puis elles sont ensuite montées et rejoignent les rangs du troupeau. Les rennes servent aussi pour porter les charges lors des déplacements.

Le pastoralisme oblige donc ces tribus à chercher sans cesse de nouveau pâturages pour leur troupeau. Les nomades on donc perdu en liberté de choix de destination en domestiquant les animaux mais ils ont gagné en sureté alimentaire.

 

La relation entre le nomades et les bêtes est un lien fort car il n'utilise jamais l'animal à mauvaises escient et les gestes fait en vers eu sont toujours fait en les respectant.

Publicité
Publicité
22 mai 2013

La naissance du mode de vie nomade

 

 

les tribus nomades sont nés il y a des millions. Les traces archéologiques les plus anciennes ont été trouvé dans le sud-ouest de l'Iran, les peuples se serait ensuite dispersés partout dans le monde.

 

Le nomadisme en Iran intéresse les chercheurs parce que le nombre de personnes ayant ce mode de vie en Iran était important jusqu’à il y a peu, et parce que les tribus nomades sont sans doute venu de cette partie du continent.

L’un des aspects étudié dans ce domaine est le nomadisme au cours de la préhistoire et de l’Antiquité. Les archéologues estiment que le nomadisme a débuté au sud-ouest de l’Iran au cours du Ve millénaire av. J.-C.

le problème des recherches archéologiques à propos des tribus nomades est que celles-ci ont laissé très peu de traces à cause de leur mode de vie.

En général, ce n’est que par des déductions indirectes, par exemple la diminution du nombre de lieux de vie sédentaires après leur augmentation, que les archéologues font l’hypothèse de la présence de tribus nomades dans ces lieux.

 

La plupart des chercheurs pensent que le nomadisme a commencé après la sédentarisation des hommes dans les villages, en particulier dans les régions où la pluviosité n’est pas très importante, ce qui est le cas en Iran. Selon cette hypothèse, la population sédentaire aurait commencé à augmenté alors que les terres de ces régions étaient peu propices à l’agriculture, et cela aurait conduit une partie de la population déjà sédentarisée à élever des animaux et à adopter le mode de vie nomade pour nourrir le troupeau.

La région où deux cimetière ont été retrouvé n’est pas favorable à l’agriculture, et aucune trace de ville ou de village ancien n’a été découverte à proximité, ce qui a conduit les archéologues à faire l’hypothèse que ces sites étaient des lieux de création de se nouveau mode de populations.



Le nomadismes est donc partie d'une zone assez restreint et aride pour ensuite se développer aux fils des siècles sur l'ensemble de la terre.

 

22 mai 2013

Les Nukaks, une disparition inévitable ?

 

Les Nukaks, est l'un des derniers peuples nomades d'Amazonie. Ils ne sont connues que depuis 1988.

Cette tribus et la dernière tribus nomades de Colombie. La tribus des Nukaks vie uniquement dans la forêt amazoniennes Colombiennes, elle se déplace toute les semaines d'une dizaines de kilomètre, pour chercher de la nourriture comme des singes, des baies en construisant à chaque fois un nouveau campement. Aujourd'hui ce peuple est sur le point de disparaître.

 

En effet selon un recensement fait par le ministère Colombiens en 1992 la tribus était composés de 1700 membres. De nos jours le ministère de la santé ne recenses plus que 500 nukaks.

La grippes et d'autres maladies occidental sont en train de les exterminer !

Les maladies ont été apporté par les blancs non intentionnellement lorsqu'ils les ont rencontrés mais ces indiens sont très sensibles à ces virus car ils n'ont aucune défense immunitaire contre se genre de virus et succombe parfois d'un simple rhume.

Leur espérance de vie ne dépasse pas 43 ans !!

 

Mais les maladies ne sont pas l'unique causes de leur disparition, la guerre entre le gouvernement et des groupes armées, les obliges à partir de leur terres pour se réfugier dans des réserves.

Les groupes armées veulent s'emparer de leur territoires pour effectuer des cultures clandestines de coca et d'autre drogue mais le gouvernement les combats se qui créer de violant affrontement sur le territoire de chasse des Nukaks et fait fuir le gibier.

 

Les Nukaks sont donc parqués dans des réserves, ils perdent tout leurs repères et deviennent de proies faciles pour les exploitant de la forêt. Ils les utilises pour défricher la forêt et plantés de la coca. Le plus dramatique dans tout cela c'est qu'ils se font payer avec de l'alcool et deviennent dépendant, c'est un cercle vicieux.

 

La situation actuel de se peuples est dramatique car c'est un peuple ancestral, qui a toujours vécu dans se lieu, avec d'immenses connaissances sur la nature, qui disparais dans l'anonymat le plus total.

 

 

Publicité
Publicité
le quotidien du nomadisme
Publicité
Archives
Publicité